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Autographes & Documents anciens - Révolution-Empire

Autographes de personnalités historiques, de la littérature, des sciences ou des arts, documents historiques ou curiosités, utilisez le moteur de recherche et naviguez dans les catégories pour trouver ce qui vous intéresse.

Intéressante lettre signée de l'abbé Coquereau évoquant le retour des cendres de Naopléon

Abbé Félix COQUEREAU - La BELLE-POULE ! 180,00 €

Félix Coquereau (1843-1856), aumônier de la Belle-Poule en 1840, il participe au retour des cendres de Napoléon puis devient aumônier en chef de la Marine.

Intéressante L.S. [25/04/1849 – Note au crayon] adressée aux membres du Comité Central de l’Union Electorale. Il se présente comme candidat à l’assemblée législative de la Seine et donne à cet effet son cursus professionnel, évoquant l’accompagnement à plusieurs reprises du Prince de Joinville dans ses missions, mais surtout, « en 1840, j’allais comme aumônier de la Belle Poule, prier à Sainte-Hélène sur le tombeau de l’Empereur, et je conduisais, au nom de la religion, les cendres de Napoléon aux Invalides… » il participa ensuite à l’expédition du Maroc sur le vaisseau amiral puis en 1847 sur l’ilot de Cabrera [surnommé l’Ilot de la Mort à cause de son histoire très particulière]. Coquereau termine « le pays semble se partager en deux camps, celui de l’ordre, dont l’élu du 10 décembre est la personnification et le drapeau, et le camp du désordre ; mon caractère et mes précédents vous disent assez quel est le mien… » 2p ½ in-4, TBE.

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Dans: Histoire Révolution-Empire

Grande terreur : Chute et poursuite des Girondins

GRANDE TERREUR : Chute & Poursuite des Girondins 350,00 €

Grande terreur / Chute et poursuite des Girondins

Exceptionnel ensemble de décrets d’époque sur le sujet. Contexte : la Commission des Douze fut créée le 20 novembre 1792 avec comme mission première d’inventorier les papiers trouvés dans l’Armoire de Fer puis de poursuivre les suspects. Largement modifiée le 18 mai 1793 sous le nouveau terme de Commission Extraordinaire des Douze (bien que l’ancien terme lui fût conservé), elle devint un organe des girondins -menacés de toutes part- pour déjouer les complots ourdis contre eux, rechercher et poursuivre les conspirateurs. Elle entraina l’insurrection montagnarde du 2 juin 1793, la chute des girondins et le début du gouvernement révolutionnaire. Cette seconde commission n’exista donc que du 12 au 31 mai 1793.

14/12/1792 (1° commission) chargeant le ministre de la Justice de faire exécuter tous les mandats d’amener ou d’arrêt que la commission des Douze décernera, notamment contre les membres du comité de liquidation de l’Assemblée Législative. 3p in-4, TBE.

21/05/1793 (2° commission) ajoutant à l’attribution de la commission des Douze, « le soin de prendre des informations sur le complot de calomnier la ville de Paris dans les départements » et donnant la liste des 12 citoyens formant cette commission (notamment Rabaut Saint-Etienne et Boyer-Fondrède). 3p in-4, TBE.

24/05/1793 « qui met sous la sauvegarde des bons citoyens, la fortune publique, la représentation nationale et la ville de Paris. » 10 articles organisant la défense armée de la Convention et les mesures que la commission extraordinaire des Douze et les sections parisiennes doivent prendre pour assurer la tranquillité publique. 3p in-4, TBE. Notes : Le 24, jour de notre décret, les hébertistes hurlent La Grande Dénonciation du Père Duchesne « au sujet des complots formés par les Brissotins, les Girondins, les Rolandins, les Buzotins, les Pétionistes, et toute la foutue séquelle de Capet et de Dumouriez, pour faire massacrer les braves Montagnards, les Jacobins, la Commune de Paris, afin de donner le coup de grâce à la liberté et de rétablir la royauté (…) Réveillez-vous, foutre, levez-vous ! (P.D. n° 239) ». Le soir même Hébert est arrêté. Cette mesure déchaîne la crise. La Commune se déclare en permanence, les sections se mobilisent. Le 25, une députation de la Commune se rend à la Convention pour demander la libération d’Hébert. Le président répond par des menaces. Le 26, Robespierre lance un appel à une « insurrection » des députés « patriotes » contre leurs collègues. Le 31 mai, la Convention est encerclée par les sans-culottes qui réclament l’arrestation des Girondins. Le 2 juin, une foule de 80 000 hommes armés investit la Convention ; l’assemblée doit se résigner à décréter d’arrestation 29 de ses membres ; c’est la fin des girondins.

31/05/1793 « qui supprime la Commission des Douze, fixe au 10 août prochain une Fédération générale et républicaine, et détermine les mesures à prendre pour la sûreté des personnes et des propriétés, et le maintien de la tranquillité publique. » 7 articles mettant la force publique de Paris en réquisition permanente et ordonnant de suivre la trace des complots dénoncés à la barre. 2p ½ in-4, TBE. 

31/05/1793 « portant que les membres de la Convention déposeront au Comité de Salut Public les pièces et preuves qu’ils ont à produire contre les députés qui ont cherché à semer la division dans la République ou à égarer l’opinion. » 2p in-4, bon état.

01/06/1793. Proclamation de la Convention, récit de « l’insurrection qui s’est manifesté à Paris le 31 mai. » Important texte. 4p in-4, TBE. Joint imprimé de juin 1793, « Pétition de la ville de St Germain-en-Laye à la Convention » rappelant à l’union la convention et proposant des mesures, pour « écarter de nous les calamités qu’annoncent les deux partis qui partagent la Convention Nationale… » Intéressant texte à découvrir. 4p in-8, bon état.

Collection des décrets rendus « depuis l’insurrection du 31 mai » jusqu’au 14 juin 1793, reliés ensemble et envoyés aux districts et municipalités en vertu du décret du 2 juillet 93. Epais document de 40 décrets dont celui du 2 juin ordonnant l’arrestation des conventionnels Gensonné, Guadet, Brissot, Gorsas, Pétion, Vergniaud, Barbaroux, Buzot, etc. Bandeau sur la 1° page, 83p in-4, TBE. 

17/07/1793 qui ordonne que la maison de Buzot soit rasée et qu’une colonne soit érigée à sa place avec mention « ici fut l’asile du scélérat Buzot, qui, représentant du peuple, conspira la perte de la République Française. » 2p in-4, TBE. 

27/09/1793. Imprimé du ministre de l’Intérieur Paré, à tous les départements, commençant ainsi : « Vous avez vu une faction liberticide agiter longtemps le sanctuaire des lois. Des représentants perfides conspiraient la perte de la république et se flattaient de l’opérer en avilissant la Convention, en armant une moitié de la France contre l’autre. Les traîtres ont échoué… » 7p in-4, TBE. 

03/10/1793 qui, dans son article I, traduit Brissot, Vergniaud, Condorcet, Gensonné, etc. devant le tribunal révolutionnaire pour y être jugés comme prévenus de « conspiration contre l’unité et l’indivisibilité de la République Française. » L’article III précise qu’il n’est rien changé aux dispositions du décret du 28 juillet qui a déclaré traitres à la patrie Buzot, Barbaroux, Gorsas, etc. 4p in-4, accidents en marge gauche.

03/10/1793 long imprimé par le conventionnel André Amar, acte d’accusation contre plusieurs membres de la Convention Nationale donnant dans le détail les raisons de l’inculpation des députés cités dans le décret du même jour -cf. texte précédent- qui est imprimé à la suite de son récit de 50p in-8. TBE. 

05/10/1793. Séance présidée par [François] Isoard (1765-1795) lors de l’assemblée générale [des Sociétés Populaires du Midi], probablement à l’occasion du congrès républicain des sociétés populaires des départements méridionaux qui eut lieu du 3 octobre au 21 novembre 1793. Récit de l’A.G. déclarant que la Convention Nationale est le centre d’intérêt général où doivent se réunir tous les français qui veulent le triomphe de la République, et invite donc la convention à rester ferme à son poste, « à décréter d’accusation tous les députés qui ont protesté contre les décrets postérieurs aux mémorables journées des 31 mai, 1° et 2 juin, ou qui se sont rendus suspects de trahison (…) Deux émigrés et la belle-mère de Pétion ont subi la peine que méritaient leurs forfaits, et que Brissot ne tarderait pas à être jugé : grands applaudissements… » 3p in-4, petits accidents.

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Superbe ensemble d'imprimés originaux sur le jugement et l'exécution de Louis XVI.

Jugement & Exécution de LOUIS XVI - Superbe ensemble ! 580,00 €

Jugement et Exécution de Louis XVI (21/01/1793)

Superbe ensemble de rares imprimés originaux relatifs au jugement et à l’exécution du roi, tous édités par l’Imprimerie Nationale Exécutive du Louvre, sauf le dernier (imprimerie Feret, rue du Marché-Palu, vis-à-vis celle Notre-Dame) :

Décret du 6 décembre 1792, titré Jugement de Louis Capet. Organisation de la commission de 21 membres qui devra présenter lundi « l’acte énonciatif des crimes dont Louis Capet est accusé (…) Le lendemain, louis Capet sera traduit à la barre de la Convention, pour entendre la lecture de cet acte et répondre aux questions qui lui seront faites… » Puis en article VII : « Le lendemain de cette comparution à la barre, la Convention Nationale prononcera sur le sort de Louis Capet par appel nominatif… » 2p ½ in-4, bon état.

Imprimé complet des Appels Nominaux faits dans les séances des 15 & 19 janvier 1793 donnant les réponses individuelles de chaque conventionnel sur les trois questions suivantes : « Louis Capet est-il coupable de conspiration contre la liberté publique et d’attentat contre la sûreté de l’Etat ? / Le jugement de la Convention nationale contre Louis Capet sera-t-il soumis à la ratification du peuple ? / Y aura-t-il un sursis, oui ou non, à l’exécution du décret qui condamne Louis Capet ? » 43p in-8 en partie déreliées mais TBE.

Décret des 15, 17, 19 & 20 janvier 1793 Relatif à Louis Capet, dernier Roi des Français. « La Convention nationale déclare Louis Capet, dernier roi des Français, coupable de conspiration contre la liberté de la Nation, et d’attentat contre la sûreté générale de l’Etat. La convention nationale décrète que Louis Capet subira la peine de mort (…) et prendra les mesures de police et de sûreté nécessaires pour en assurer l’exécution dans les vingt-quatre heures… » 3p in-4, bon état.

Décret de la Convention, 23 janvier 1793, Adresse de la Convention au Peuple Français, commençant ainsi : « Le tyran n’est plus ; depuis longtemps les cris des victimes dont la guerre et les divisions ont couvert la France et l’Europe, protestaient hautement contre son existence : il a subi sa peine, et le peuple n’a fait entendre que des acclamations pour la République et pour la liberté… » 8p in-4, bon état.

Proclamation du Conseil exécutif délibérant sur les mesures à prendre pour l’exécution du décret des 15 au 20 janvier 1793, « L’exécution du jugement de Louis Capet se fera demain lundi 21. Le lieu de l’exécution sera la place de la Révolution, ci-devant Louis XV, entre le piédestal et les Champs-Elysées. Louis Capet partira du Temple à 8 heures du matin, de manière que l’exécution puisse être faite à midi… » Au verso, arrêté du département de Paris 20/01/1793 ordonnant le placement d’une force suffisante à toutes les barrières de la capitale afin qu’aucune force étrangère ne puisse y pénétrer, ainsi que la mise en arme des sections des 7 heures du matin, invitant « tous les citoyens à veiller à ce que les ennemis de la liberté et de l’égalité ne puissent rien tenter… » 2p in-8.

Rarissime imprimé donnant « L’ordre et la marche, et tout ce qui sera exécuté, aujourd’hui, pour l’arrivée de Louis Capet à la place du Carrouzel. » suivi d’un extrait du « Grand jugement (…) qui condamne Louis Capet, ci-devant roi des Français (…) à subir la peine de mort, demain place du Carrouzel… » Intéressants détails des mesures que devra prendre le général Santerre pour encadrer le cortège, le circuit à emprunter et la protection des rues. 40 pièces de canons seront installées « à toutes les embouchures du carrouzel, dans chaque rue, de distance à distance, et à l’entour de la voiture du criminel ; les fenêtres seront par-tout où il passera ; tous les citoyens sont invités à ne sortir qu’étant armés, et les citoyennes à rester dans leurs propriétés ; l’exécution se fera à midi précis, place du Carrouzel… » 4p in-4, bandeau aux armes royales (!), TBE.

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Lettre autographe signée de Lacuée, comte de Cessac

Ministre de la Guerre LACUEE - L.A.S. 65,00 €

Jean Girard Lacuée (1752-1841), ministre de la Guerre sous Napoléon.

L.A.S. le Cte de Cessac, 27/02/1821, au marquis de Bausset* (adresse au verso et MP d’Avignon). Il le plaint « d’avoir pour belle-mère une femme de mauvaise foi ; vous serez toute votre vie tourmentée par elle ou par l’effet de ses conseils… » Bien qu’elle ait ouvert une procédure contre Beausset, Lacuée recommande à ce dernier de ne pas faire appel du jugement qu’elle a obtenue en l’absence de son gendre. Cependant, « je vous conseille, mon cher marquis, d’agir avec vigueur pour que vos droits et ceux de vos enfants soient assurés, sauf ensuite à user de la victoire avec modérartion, commençons par vaincre… » 2p in-4, bon état.

*François-Louis-Nicolas, marquis de Bausset (17641841), officier puis député des Bouches-du-Rhône en 1815-16 et de 1820 à 30.

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Pièce signée du général Schoenmezel

SCHOENMEZEL général 80,00 €

Charles Jean Théodore Schoenmezel (1742-1815), général de la Révolution.

P.S. Kempen (Belgique) 21 nivôse an III (11/01/1795), en tant que chef de la 181° demi-brigade, en-tête manuscrit de l’Armée de Sambre-et-Meuse, contresignée par de nombreux soldats et officiers. Certificat de bons et loyaux services en faveur du fusilier Laurent Gauthier qui, « dans toutes les affaires où il s’est trouvé en combattant les tyrans coalisés, a montré les courage et le zèle qui caractérise le vrai républicain (…) et, le 9 frimaire an II, en montant à l’assaut des redoutes de Kaiserlautern*, il a été blessé d’un coup de balle au-dessous de l’épaule gauche, qui l’a rendu depuis cette époque toujours malade et incapable de faire le service de la République… » Cachet de cire TB de la 181°, 2p in-folio, bon état.

*La bataille de Kaiserlautern (Allemagne) du 28 au 30/11/1793 opposa l’Armée de Moselle aux ordres du général Hoche, aux troupes prussiennes commandées par le duc de Brunswick, et qui se solda par une défaite française.

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